María Dodera’s theater production Simone, mujer partida (2017) builds on current movements against gender violence in Latin America. Actor Gabriela Iribarren’s portrayal of Dodera’s Beauvoir suggests we view her via a process of interaction between internal and external dialogic selves as she seeks subjectivity—a dynamic Iribarren makes evident through the juxtaposition of ephemeral live performance and the (re)presentation of Beauvoir’s life history. Her monologue is thus not univocal, but layered with multiple voices from the past and present.
Simone, mujer partida (2017) de María Dodera s’ appuie sur les mouvements actuels contre la violence sexiste en Amérique latine. La représentation de la Beauvoir de Dodera par l’ actrice Gabriela Iribarren suggère que nous considérions la quête d’ une subjectivité idoine de l’ autrice sous l’ angle d’ un processus d’ interaction entre les moi dialogiques internes et externes—un concept dynamique qu’Iribarren illustre par la juxtaposition de performances éphémères et la (re)présentation de la biographie de Beauvoir. Le monologue d’ Iribarren n’ est en ce sens pas univoque, mais composé du palimpseste des multiples voix du passé et du présent.
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María Dodera’s theater production Simone, mujer partida (2017) builds on current movements against gender violence in Latin America. Actor Gabriela Iribarren’s portrayal of Dodera’s Beauvoir suggests we view her via a process of interaction between internal and external dialogic selves as she seeks subjectivity—a dynamic Iribarren makes evident through the juxtaposition of ephemeral live performance and the (re)presentation of Beauvoir’s life history. Her monologue is thus not univocal, but layered with multiple voices from the past and present.
Simone, mujer partida (2017) de María Dodera s’ appuie sur les mouvements actuels contre la violence sexiste en Amérique latine. La représentation de la Beauvoir de Dodera par l’ actrice Gabriela Iribarren suggère que nous considérions la quête d’ une subjectivité idoine de l’ autrice sous l’ angle d’ un processus d’ interaction entre les moi dialogiques internes et externes—un concept dynamique qu’Iribarren illustre par la juxtaposition de performances éphémères et la (re)présentation de la biographie de Beauvoir. Le monologue d’ Iribarren n’ est en ce sens pas univoque, mais composé du palimpseste des multiples voix du passé et du présent.
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