This article examines the existentialist meanings of “trouble,” an experience that recurs throughout Simone de Beauvoir’s and Jean-Paul Sartre’s writings on sadism, love, and desire. For both authors, trouble represents the phenomenological experience of being submerged in one’s body through either extreme pleasure or pain. Whereas Sartre’s use of trouble ends up denying intersubjective connection, Beauvoir’s writings leave open the possibility for reciprocity, but only if we are able to create the social grounds on which trouble can flourish.
Cet article examine les significations existentialistes du “trouble”, une expérience récurrente dans les écrits de Simone de Beauvoir et de Jean-Paul Sartre sur le sadisme, l’amour et le désir. Pour les deux auteurs, le trouble représente l’expérience phénoménologique d’être plongé dans son corps, que ce soit par un plaisir ou une douleur extrême. Alors que l’utilisation du trouble par Sartre finit par nier la connexion intersubjective, les écrits de Beauvoir laissent ouverte la possibilité d’une réciprocité, mais seulement si nous sommes capables de créer les bases sociales sur lesquelles le trouble peut s’épanouir.
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This article examines the existentialist meanings of “trouble,” an experience that recurs throughout Simone de Beauvoir’s and Jean-Paul Sartre’s writings on sadism, love, and desire. For both authors, trouble represents the phenomenological experience of being submerged in one’s body through either extreme pleasure or pain. Whereas Sartre’s use of trouble ends up denying intersubjective connection, Beauvoir’s writings leave open the possibility for reciprocity, but only if we are able to create the social grounds on which trouble can flourish.
Cet article examine les significations existentialistes du “trouble”, une expérience récurrente dans les écrits de Simone de Beauvoir et de Jean-Paul Sartre sur le sadisme, l’amour et le désir. Pour les deux auteurs, le trouble représente l’expérience phénoménologique d’être plongé dans son corps, que ce soit par un plaisir ou une douleur extrême. Alors que l’utilisation du trouble par Sartre finit par nier la connexion intersubjective, les écrits de Beauvoir laissent ouverte la possibilité d’une réciprocité, mais seulement si nous sommes capables de créer les bases sociales sur lesquelles le trouble peut s’épanouir.
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