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Le thé taïwanais à la veille de son âge d’or : De l’exploitation des théiers sauvages aux premières plantations (début XVIIIe - milieu XIXe siècle)

In: T'oung Pao
Author:
Philippe Chevalérias Université de Lille Centre d’Etudes en Civilisations, Langues et Lettres Etrangères (CECILLE) France Lille

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Résumé

Le thé de Formose allait connaître son âge d’or pendant les trois dernières décennies du XIXe siècle grâce à des firmes étrangères qui financèrent de nouvelles plantations sur l’île et y établirent des « tea-hong ». Mais si les hommes d’affaires occidentaux parvinrent à développer aussi rapidement le secteur du thé à Taïwan, c’est parce qu’ils pouvaient s’appuyer sur l’expérience d’immigrés chinois qui exploitaient les théiers sauvages dans les montagnes de Shuishalian 水沙連 au centre de l’île depuis le début du XVIIIe siècle, et qui avaient commencé à planter des théiers dans la région de Taïpei à des fins commerciales quelque part entre le milieu du XVIIIe siècle et le début du XIXe siècle. Remontant aux sources de l’histoire du thé taïwanais, nous apportons un éclairage sur cette période (début XVIIIe-milieu XIXe siècle) où s’est progressivement formé le socle sur lequel une industrie du thé pourrait finalement prendre racine à Formose dans les années 1860.

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