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The authors make use of exceptionally rich charter materials from the Iberian Peninsula, Italy, and Scandinavia, including different types of texts directly and indirectly related to conflicts, in order to contribute to a comparative survey of early medieval dispute records and to a better understanding of the interplay between judicial and other less formal modes of conflict resolution.
Contributors are Isabel Alfonso, José M. Andrade, François Bougard, Warren C. Brown, Wendy Davies, Julio Escalona, Kim Esmark, Adam J. Kosto, Juan José Larrea, André Evangelista Marques, Josep M. Salrach, Igor Santos Salazar, and Francesca Tinti.
The authors make use of exceptionally rich charter materials from the Iberian Peninsula, Italy, and Scandinavia, including different types of texts directly and indirectly related to conflicts, in order to contribute to a comparative survey of early medieval dispute records and to a better understanding of the interplay between judicial and other less formal modes of conflict resolution.
Contributors are Isabel Alfonso, José M. Andrade, François Bougard, Warren C. Brown, Wendy Davies, Julio Escalona, Kim Esmark, Adam J. Kosto, Juan José Larrea, André Evangelista Marques, Josep M. Salrach, Igor Santos Salazar, and Francesca Tinti.
Dans quelle mesure l’eau constitue-t-elle un élément archétypal, producteur de valeurs et enclin aux ambivalences ? Les mythes regorgent de fontaines magiques, de fleuves matriciels ou d’abysses mortifères. L’eau se prête à des rites de lustration ou d’immersion baptismale régénérante. La circumnavigation a engendré des récits épiques à visée conquérante ou humaniste, peuplés de monstres et de délices. Il s’agit ici d’établir un lien entre l’iconique et le verbal en renouvelant notre confiance dans le régime d’exemplarité de l’art, seul à même d’appréhender ce qui est imprévisible, éphémère et continu. Contre les naufrages existentiels, les guerres de l’eau, le pullulement des microplastiques, scories d’un productivisme effréné, un ouvrage comme celui-ci peut sensibiliser au droit à l’eau partagé, à ses vertus bienfaisantes et à son imaginaire inépuisable.
Dans quelle mesure l’eau constitue-t-elle un élément archétypal, producteur de valeurs et enclin aux ambivalences ? Les mythes regorgent de fontaines magiques, de fleuves matriciels ou d’abysses mortifères. L’eau se prête à des rites de lustration ou d’immersion baptismale régénérante. La circumnavigation a engendré des récits épiques à visée conquérante ou humaniste, peuplés de monstres et de délices. Il s’agit ici d’établir un lien entre l’iconique et le verbal en renouvelant notre confiance dans le régime d’exemplarité de l’art, seul à même d’appréhender ce qui est imprévisible, éphémère et continu. Contre les naufrages existentiels, les guerres de l’eau, le pullulement des microplastiques, scories d’un productivisme effréné, un ouvrage comme celui-ci peut sensibiliser au droit à l’eau partagé, à ses vertus bienfaisantes et à son imaginaire inépuisable.