Cet ouvrage est une version révisée de ma thèse de doctorat « Les manuscrits arabes des lettres de Paul. La reprise d’un champ de recherche négligé », défendue en septembre 2016 à la Radboud Universiteit à Nimègue. Elle est le fruit d’un travail de recherche mené dans le cadre du projet du Fonds national suisse de la recherche scientifique éponyme (FNS 143810). Je tiens à exprimer ma profonde reconnaissance à Claire Clivaz qui a dirigé le projet de ses débuts jusqu’à l’étape finale, l’achèvement de la thèse. Ce fut une belle aventure, riche en partage de connaissances et en émotions, et je suis très fière de cette collaboration fructueuse : qu’elle soit remerciée de l’avoir rendue possible.
Je remercie chaleureusement mon directeur de thèse à l’Université de Lausanne et co-directeur du projet, David Bouvier, et mon directeur de thèse à la Radboud University Nijmegen, Herman Teule, pour leur confiance, leur soutien et leur lecture de mon travail ; ils ont rendu cette cotutelle possible et efficace. Merci particulièrement à Herman Teule pour son accueil à Nimègue et pour nos longues sessions de travail au 17e étage de l’Erasmusgebouw. Je remercie également l’Institute of Eastern Christian Studies (IVOC) et ses collaborateurs pour leur accueil chaleureux au sein de l’institut.
Mes remerciements vont aussi au Swiss Institute of Bioinformatics, particulièrement à Vital-IT et à son directeur Ioannis Xennarios, pour leur accueil et leur soutien ainsi que pour les ressources informatiques du projet d’édition digitale Tarsian. Un grand merci à Martial Sankar pour sa précieuse collaboration.
Je tiens à remercier particulièrement mon collègue et ami Fabrice Vust pour sa relecture et pour les longues heures passées à discuter des détails de langue ; je suis heureuse d’avoir pu profiter de sa passion et de sa connaissance des langues orientales. Je remercie également Monia Touati Sarraj, qui nous accompagnés dans ce travail de relecture.
Merci à tous les collègues qui m’ont d’une manière ou d’une autre, soutenue dans mon parcours. Je mentionnerai ici : Samir Arbache et Heleen Murre-van Berg pour leur participation au jury de thèse et les précieuses discussions que nous avons eues, le comité éditorial de Biblia Arabica pour leur aide et leurs remarques, Hikmat Kashouh pour son initiation à la lecture des manuscrits arabes du Nouveau Testament, Elie Dannaoui pour tous nos échanges, à Balamand ou ailleurs, les chercheurs rencontrés à l’Université Saint-Joseph et tous ceux qui ont rendu mon séjour agréable à Beyrouth, Giuliano Lancioni pour nos discussions informatiques et son accueil à Rome, les doctorants du groupe DH-Lausanne, l’Institut romand des sciences bibliques et ses membres, particulièrement Albert Frey et Apolline Thromas.
Je remercie mes parents et mes sœurs, pour leur présence, toujours.
Je remercie mes amis à Neuchâtel und meine Freunde in Tübingen, besonders Dani für ihre Hilfe.
Enfin, je remercie Niklas : wir haben es geschafft !