Remerciements
Me voici parvenu à l’heure des remerciements. Si ce livre ne fait que commencer pour les lecteurs, il représente pour moi l’aboutissement d’un parcours – un parcours de presque quinze années de recherches et qui aurait été bien plus difficile si je n’avais pas bénéficié de l’aide de nombreux guides efficaces et bienveillants que je tiens à remercier dans les lignes suivantes.
Mes pensées vont d’abord à Mme Nancy Freeman Regalado, qui a eu la patience de suivre cet ouvrage dans toutes ses « mouvances » et de l’orienter dans la bonne direction. Je ne saurais oublier non plus la gentillesse qu’elle a témoignée à mon égard tout au long de mes années d’études doctorales à New York University (NYU). Lectrice extrêmement perspicace et mentor inégalable, elle a joué un rôle considérable dans le développement de ce travail, ainsi que dans ma formation professionnelle.
Ma gratitude s’adresse en égale mesure à Mme Evelyn Birge Vitz (Département de Français de NYU), qui m’a aidé à mieux comprendre le rôle de la voix dans la littérature médiévale, ainsi qu’à Mme Brigitte Bedos-Rezak (Département d’Histoire de NYU), qui a enrichi cette étude grâce à sa perspective d’historienne. Les conseils de Michel Beaujour† (Département de Français de NYU), lecteur critique et passionné des premières ébauches de mon travail sur les « autographies, » m’ont aidé à mieux cerner mes idées. Michel Zink (Collège de France), Pierre Courroux (University of Southampton), Corinne Noirot (Virginia Tech University), Michael Boerm et Alexandre Thiltges (Baylor University) ont eu l’amabilité de lire plusieurs chapitres de mon ouvrage et de me fournir d’excellentes suggestions, et je les en remercie.
Ce projet ne se serait pas concrétisé sans le soutien accordé par le Département de Français de New York University sous la forme des bourses MacCracken et Dulau. J’ai passé cinq années inoubliables sur le campus de Washington Square, en plein cœur de New York, et c’est bien là que j’ai commencé la rédaction de ce livre sous la forme d’une thèse de doctorat. La longue et profonde métamorphose de la thèse en livre s’est produite pendant les années passées dans le Département de Langues Modernes de Baylor University, que je remercie pour le soutien accordé pour la finalisation de mon livre.
Ma reconnaissance s’adresse aussi à Erik Kooper et Graeme Dunphy, présidents successifs de la Medieval Chronicle Society, société académique qui a joué un rôle majeur dans ma vie intellectuelle. Graeme Dunphy, éditeur de ce monument dédié aux chroniques médiévales qu’est l’Encyclopedia of Medieval Chronicles, a eu la gentillesse de m’impliquer dans ce formidable projet dès le début, et mes remerciements ne sauraient suffire pour exprimer toute ma gratitude envers lui.
Je ne saurais énumérer ici les nombreux collègues et amis qui ont contribué d’une manière ou de l’autre à l’aboutissment de ce projet, mais je les remercie tous, tout en les assurant que leur apport n’a pas été oublié. En fin de compte, je tiens à exprimer ma gratitude envers mes parents et mon épouse qui m’ont soutenu tout au long de ces années de travail intense.