Author:
Anna Angelini
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Remerciements

Ce livre est issu d’un projet de recherche postdoctoral soutenu par le Fond National Suisse (n. 100015_156350/1) et mené à l’Institut romand des sciences bibliques de l’Université de Lausanne, sous la supervision de Christophe Nihan. Je lui suis infiniment reconnaissante pour la confiance qu’il m’a accordée, pour son généreux soutien ainsi que pour ses efforts pour garantir un financement au projet. Le temps qu’il a dédié à discuter chacune des idées contenues dans le livre et à en planifier avec moi la structure a amélioré la qualité de mon travail d’une manière que je n’aurais jamais imaginée possible. En lui, j’ai découvert un modèle d’excellence scientifique qui est source permanente d’inspiration.

Je remercie vivement les éditeurs des Supplements au Journal for the Study of Judaism, René Bloch et Karina Martin Hogan, pour avoir accepté mon manuscrit, les deux lecteurs anonymes pour leurs remarques constructives, Marjolein van Zuylen pour son assistance dans la préparation de la version finale de la publication. La finalisation du manuscrit a bénéficié du soutien financier de l’Institut romand des sciences bibliques et du Centre interdisciplinaire en histoire et sciences des religions de l’Université de Lausanne. En outre, une bourse de recherche de la Société Académique Vaudoise (2014–2015) m’a permis de perfectionner mes compétences sur la Septante lors d’un semestre de recherche à Paris et d’un séjour à Göttingen. Je suis très reconnaissante envers ces institutions. Je tiens également à remercier mes collègues de l’Université de Lausanne qui, pendant ces années, ont contribué au développement du projet par leurs commentaires, suggestions bibliographiques, relectures : Aurélie Bischofberger, Hervé Gonzalez, Hélène Grosjean, Jürg Hutzli, Katharina Pyschny, Alessandra Rolle, Eleonora Serra, Camille Semenzato, Matteo Silvestrini. Je sais particulièrement gré à Giuseppina Lenzo pour son aide avec le matériel égyptien et pour son amitié. J’adresse également une pensée profonde à Anne-Sophie Gloor, dont l’esprit positif ainsi que l’aide pratique qu’elle m’a fournie en de nombreuses occasions, ont été un grand soutien pendant mes années lausannoises.

J’ai eu l’opportunité de présenter plusieurs idées et quelques résultats de recherche à l’occasion de diverses réunions scientifiques : les séminaires du groupe de recherche sur la Septante de Paris (UMR 8167 Orient et Méditerranée, 2014), le colloque « Entre dieux et hommes » et le séminaire de religion grecque du Collège de France (2014 et 2019), le séminaire pour doctorants de l’Université de Yale (2014), les journées d’études sur texte massorétique et Septante à l’Université de Genève (2014–2017), l’unité de recherche sur le Pentateuque de la Society of Biblical Literature (San Diego, 2014), la journée d’études de l’Institut Romand de Sciences Bibliques « La Septante au croisement des cultures de l’antiquité » (Lausanne, 2015), les séminaires d’Ancien Testament de l’Université Humboldt (Berlin, 2014) et de l’Université George-August (Göttingen, 2015), la Septuaginta Deutsch (Wuppertal, 2016), l’Institut de Théologie Protestante de Paris (2017), l’Oxford Seminar in Advanced Jewish Studies (2018), le Cambridge Septuagint Seminar (2020). J’adresse une pensée reconnaissante aux collègues qui m’ont offert leurs remarques constructives : James Aitken, Sonja Ammann, Hans Ausloos, Rotem Avneri Meir, Daniel Barbu, Cécile Dogniez, Doralice Fabiano, Giulia Francesca Grassi, Bénédicte Lemmelijn, Alessandra Lukinovich, Lionel Marti, Francesco Massa, Valérie Nicolet, Vinciane Pirenne-Delforge, Harald Samuel, Brian Schmidt, Ross Wagner.

L’octroi de la Polonski Fellowship, grâce à laquelle j’ai profité d’un séjour de recherche à l’Oxford Centre for Hebrew and Jewish Studies et à l’Oriel College en printemps 2018, m’a offert une occasion unique d’échanges scientifiques, qui a enrichi mon approche de la Septante d’une profondeur nouvelle : je sais gré à Arjen Bakker, Anthony Ellis, Trevor Evans, Scott Scullion, Michael Seleznev, Maria Yurovitskaya, Romina Vergari. Un grand merci est dû à Hindi Najman et à Benjamin Wright pour leur encouragement affectueux.

Plusieurs collègues et amis ont offert leur aide lors de la préparation du manuscrit : j’exprime mon plus vif remerciement à Anne-Sophie Augier et Théo Millat-Carus pour la relecture de mon français, à Chiara Ratti pour la mise en forme de la bibliographie, à Corinne Bonnet pour son soutien qui m’est cher. Jan Rückl a discuté avec moi plusieurs points de critique textuelle, contrôlé mes transcriptions, et relu la bibliographie, en faisant preuve d’une amitié sans défaut et d’une générosité dont je lui serai toujours reconnaissante. Ce livre est également l’histoire d’une amitié née en 2013 sur les rives du lac Léman et consolidée dans les années successives, pendant lesquels Julia Rhyder et moi avons partagé un bureau, un appartement, ainsi que d’innombrables expériences, qu’elles soient académiques ou expériences de vie. L’achèvement de ce manuscrit doit à Julia beaucoup plus que ce que je ne peux exprimer ici, mais je tiens néanmoins à la remercier de tout mon cœur pour son soutien dans les étapes finales de la rédaction ainsi que pour la révision stylistique de plusieurs chapitres. Je reste entièrement responsable de toute erreur ou imprécision.

Enfin, je n’aurais jamais pu compléter cette recherche sans l’encouragement constant de ma famille et sans l’amour de mon mari Sebastiano. Il m’a soutenue sans réserve en supportant de longues périodes d’absence et en faisant face à une logistique familiale souvent complexe.

La joie que la publication du volume m’apporte a été malheureusement tempérée par la nouvelle inattendue du décès de Francesco Aspesi dont l’absence laisse un vide infranchissable. Franco, comme nous l’appelions, a guidé mes premiers pas dans le monde des langues sémitiques lorsque j’étais une jeune étudiante à l’Université de Milan et notre échange ne s’est jamais interrompu depuis. Il attendait avec impatience de lire de ce volume qui a fait l’objet d’une de nos dernières conversations. Il m’a appris à aimer la philologie, à ne pas mettre de limites à ma curiosité scientifique et à poursuivre mes passions avec enthousiasme et optimisme. C’est à sa mémoire que je dédie ce livre.

Zurich, Janvier 2020

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