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En effet, que ce soit dans la littérature de la Shoah ou dans la littérature de l’esclavage, l’auteur antillais d’adoption semble comme « ex-communié ». Or, de l’Univers de concentration à l’Univers de Plantation, il dépiste les mêmes mécanismes de déshumanisation et la même nécessité à faire un double devoir de mémoire. A travers une étude de l’intertextualité tant en amont qu’en aval, d’une autotextualité entre le cycle ashkénaze et le cycle antillais, il devient clair qu’entre polonisation et créolisation, il y a réversibilité.
En effet, que ce soit dans la littérature de la Shoah ou dans la littérature de l’esclavage, l’auteur antillais d’adoption semble comme « ex-communié ». Or, de l’Univers de concentration à l’Univers de Plantation, il dépiste les mêmes mécanismes de déshumanisation et la même nécessité à faire un double devoir de mémoire. A travers une étude de l’intertextualité tant en amont qu’en aval, d’une autotextualité entre le cycle ashkénaze et le cycle antillais, il devient clair qu’entre polonisation et créolisation, il y a réversibilité.